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    Devenir Online Business Manager - Formation complète de 7h OFFERTE

    Valuable insights

    1.L'OBM est un partenaire stratégique, pas un exécutant: Le rôle de l'Online Business Manager est d'être le bras droit stratégique, se concentrant sur le pilotage et la prise d'initiative, contrairement à l'assistante virtuelle qui exécute des tâches déléguées.

    2.Le positionnement détermine la rémunération: Facturer à l'impact et à la valeur apportée est essentiel pour éviter d'être perçu comme un coût. La facturation horaire pénalise l'efficacité et plafonne les revenus.

    3.Les compétences techniques s'apprennent, le mindset est clé: Les compétences techniques sont acquises rapidement, mais l'état d'esprit entrepreneurial, la proactivité et la posture de partenaire sont les véritables déterminants du succès.

    4.Le marché actuel favorise les pionniers: La demande pour les OBM qualifiés explose, surpassant l'offre disponible. Se positionner maintenant permet de bénéficier d'une faible concurrence et de tarifs premium.

    5.L'audit opérationnel précède toute systématisation: Il est crucial de diagnostiquer l'existant avant de documenter ou d'automatiser. Documenter des processus défaillants conduit à systématiser le chaos, ce qui est contre-productif.

    6.L'entrepreneur cherche un intrapreneur, pas un salarié: Les entrepreneurs recherchent un partenaire capable de prendre des initiatives, de challenger les décisions et d'assumer la responsabilité des résultats, libérant ainsi l'énergie du dirigeant.

    7.L'action prime sur la préparation infinie: La peur de ne pas être prêt mène à la surpréparation et à la procrastination. L'expérience nécessaire s'acquiert en signant rapidement un premier client et en apprenant sur le terrain.

    Introduction et Révélations sur le Métier

    Une formation complète est offerte gratuitement, destinée à révéler ce qui nécessite habituellement des dépenses importantes. Cependant, une mise en garde est émise concernant les neuf personnes sur dix qui accumulent ces compétences sans parvenir à vivre décemment de cette activité. L'objectif de cette ressource est de fournir les clés pour structurer une activité et assurer une croissance sereine, en détaillant le contenu par stade d'avancement de l'apprenant.

    La réalité du succès : posture stratégique

    L'acquisition des compétences techniques ne garantit absolument pas le succès. La différence fondamentale réside dans le positionnement : les exécutantes listent leurs compétences, tandis que les partenaires stratégiques indispensables prennent des initiatives, challengent et assument la responsabilité du résultat. Les entrepreneurs premium recherchent ce bras droit, ce qui s'apprend via une méthodologie éprouvée pour attirer des clients rémunérant à juste valeur.

    • Accès à des templates prêts à l'emploi.
    • Téléchargement immédiat pour une durée limitée.

    Tout savoir sur le métier d’OBM

    Le rôle d'Online Business Manager (OBM) est celui du bras droit stratégique d'un entrepreneur. Il consiste à structurer l'entreprise, gérer les opérations quotidiennes, coordonner les projets et superviser les équipes pour garantir le bon fonctionnement et la croissance. L'OBM est la personne qui s'assure que la bonne chose soit faite de la bonne façon, au bon moment, par la bonne personne.

    Identifier le profil idéal de l'OBM

    Pour déterminer si ce rôle correspond, six questions d'auto-évaluation doivent être posées, touchant à l'amour de l'organisation, la curiosité naturelle pour la recherche de solutions, le besoin de réfléchir au « comment faire », le désir de se sentir utile, l'appréciation du stress positif et l'appétence pour structurer le désordre.

    • Assistantes virtuelles en quête d'évolution (passer de l'exécution à la gestion).
    • Salariés en reconversion (passer de « on me dit quoi faire » à « je guide »).
    • Cadres du middle management souhaitant entreprendre (adopter un rôle d'intrapreneur orienté impact).
    • Freelances « couteau suisse » (arrêter de s'éparpiller et packager des offres orientées résultat).

    L'OBM n'est pas un exécutant ni un marketeur

    L'OBM n'est pas une simple exécutante ou une assistante augmentée ; son rôle est stratégique et hybride, impliquant conseil et opérationnel. Il n'est pas non plus un marketeur principal ; si le client ne sait pas générer de business, ce n'est pas le rôle de l'OBM de lui apprendre, mais plutôt celui d'un coach business. Le terme « online » signifie l'utilisation d'outils digitaux pour manager à distance, mais les clients peuvent appartenir à des secteurs traditionnels.

    L'OBM, c'est la personne qui fait en sorte que la bonne chose soit faite de la bonne façon, au bon moment par la bonne personne.

    Les quatre piliers de l'intervention quotidienne

    • Stratégie (définir la bonne chose à faire en collaboration avec le dirigeant).
    • Systèmes (mettre en place processus, outils et automatisations pour la bonne façon).
    • Opérations (s'assurer que les choses sont faites dans l'ordre et à temps, le bon moment).
    • Équipe (recruter, manager et s'assurer que les tâches sont déléguées à la bonne personne).

    Les compétences techniques d’une OBM

    Les compétences techniques de l'Online Business Manager sont regroupées en trois piliers majeurs : la gestion de projet, le management d'équipe et la gestion des opérations. Ces domaines constituent le cœur des responsabilités opérationnelles et stratégiques assumées par l'OBM au sein de l'entreprise cliente. L'objectif est de transformer le chaos entrepreneurial en une machine prévisible et performante.

    Les hard skills : gestion de projet détaillée

    La gestion de projet est fondamentale, car le développement d'une entreprise n'est qu'une succession de projets définis comme un effort temporaire pour créer un résultat unique. Il est crucial d'adopter une posture stratégique, en évaluant si le projet doit être fait maintenant, plutôt que de simplement planifier l'exécution immédiatement. Cinq principes essentiels guident ce processus : objectifs clairs, transformation de l'idée en plan d'action, définition des responsabilités et échéances, mise en condition de réussite de l'équipe, et maintien de la vue d'ensemble.

    • Ne pas définir d'objectifs mesurables (ex: générer 50000 €).
    • Ne pas inclure de marge de sécurité de 20 % minimum dans la planification.
    • Oublier de documenter les apprentissages lors de la phase de clôture.

    Les cinq étapes universelles d'un projet

    Toute gestion de projet passe par cinq phases universelles : l'initiation (validation de l'alignement stratégique), la planification (découpage en tâches de moins de 2 heures), l'exécution (coordination et mise en œuvre du plan), le pilotage et suivi (ajustement constant des imprévus), et la clôture (rétrospective, documentation, offboarding).

    Aspect
    Projet Classique
    Gestion de Lancement
    Durée/Timing
    Plutôt long terme, ajustable
    Date fixe non négociable (souvent courte)
    Pression
    Modérée
    Beaucoup plus importante, gestion sous stéroïdes
    Mobilisation
    Peut concerner une partie de l'équipe
    Mobilise généralement toute l'équipe

    Management d’équipe

    Le management d'équipe se distingue de la gestion de projet par son objectif : tenir les rênes de la ressource humaine. Alors que la gestion de projet se concentre sur la partition (plan, deadlines), le management dirige l'orchestre (l'humain). Ce rôle est transverse et permanent, essentiel pour bâtir une culture d'équipe et maintenir la performance durablement.

    Posture du manager : confiance et responsabilité

    La bonne posture managériale repose sur la confiance réciproque et la responsabilisation. Le manager doit fixer un cadre clair et laisser l'autonomie sur le « comment », se concentrant sur le « quoi » et le « pourquoi ». Éviter le micro-management, qui étouffe l'initiative, et le rôle de « manager copain », qui fuit les conversations difficiles, est fondamental pour préserver les talents (A players).

    • Réunions hebdomadaires avec le client (reporting sur les opérations).
    • Weekly Team Focus (objectifs et blocages de la semaine).
    • One-to-One (points individuels pour le coaching et le feedback).
    • BOD/IOD (briefs ou intros/outros de journée via formulaire pour maintenir la tension positive).

    Recrutement, intégration et gestion des départs

    Le recrutement doit suivre un processus structuré en huit étapes, débutant par la préparation du brief de poste axé sur l'impact attendu à 90 jours. L'onboarding doit être préparé logistiquement et informationnellement avant le jour J, suivi d'un mois de formation progressive. Garder quelqu'un qui sous-performe coûte cher et démotive les meilleurs éléments ; les conversations difficiles doivent être adressées rapidement, basées sur des faits, et proposer un plan correctif.

    On ne peut pas acheter la loyauté, on doit la mériter.

    Gestion des opérations

    La gestion des opérations assure l'efficience quotidienne de l'entreprise, garantissant que chaque tâche est exécutée au bon moment par la bonne personne avec les bons outils. L'OBM doit diagnostiquer les défaillances opérationnelles avant de systématiser. Il est crucial de comprendre que le rôle du client est de générer de la croissance, ce qui introduit du chaos, et le rôle de l'OBM est de structurer ce chaos.

    Les niveaux de maturité et la documentation

    • Niveau 1 (Artisanal) : Chaos joyeux, tout repose sur le fondateur, croissance limitée.
    • Niveau 2 (Structuré) : Quelques systèmes de base et standards documentés, croissance possible mais freinée.
    • Niveau 3 (Industriel) : Systèmes interconnectés, standards élevés, croissance prévisible et scalable.

    Avant de documenter, il faut évaluer l'utilité via le framework VALUE (Valeur, Activité répétée, Levier d'optimisation, Usage réel, Évolution stable). La documentation doit se concentrer sur les systèmes (vue satellite des domaines clés comme Marketing, Vente, Delivery) et les processus (feuille de route étape par étape), et non sur chaque tâche isolée, sauf si elle est prioritaire absolue ou génère des erreurs coûteuses.

    Optimisation, automatisation et pilotage par la data

    Optimiser consiste à améliorer l'existant pour gagner en efficacité ou qualité sans complexité technologique supplémentaire, tandis qu'automatiser consiste à confier l'exécution à un outil externe. L'automatisation ne doit être envisagée qu'après que le processus ait été documenté et optimisé. Le pilotage doit se faire par des indicateurs de performance clés (KPIs) structurés en trois niveaux : résultats (70 % du tableau), activité critique (20 %) et opérationnel (10 %).

    Domaine
    Avant (Chaos)
    Après (Système)
    Support Client
    3 heures perdues/jour par la CEO
    2 heures perdues/semaine, satisfaction client passe de 70 % à 92 %
    Contenu Graphisme
    3-4 allers-retours, 60 % de retard
    Cadrage clair, augmentation de 30 % de la capacité de livraison
    Facturation (par Marc)
    6 heures/semaine, 15 % d'erreurs
    1 heure/semaine, zéro erreur, envoi sous 24 heures

    Organisation et mindset de leader

    L'organisation personnelle et le mindset de leader sont cruciaux pour se positionner immédiatement comme partenaire stratégique et non comme simple exécutante. Il est vital d'éviter la surpréparation, ce cercle vicieux où la formation continue nourrit le syndrome de l'imposteur sans générer de revenus. Le véritable apprentissage et la confiance s'acquièrent en passant à l'action et en signant rapidement un premier client.

    Le setup minimum viable pour démarrer

    Pour débuter, l'investissement matériel doit être minimaliste : un ordinateur convenable (minimum 4 Go de RAM), une connexion internet stable, et des outils gratuits comme Gmail, Google Drive et Google Meet. Il n'est pas nécessaire d'investir dans un nouveau MacBook ou de créer une identité visuelle sophistiquée avant d'avoir signé les premiers clients. Le temps passé sur ces éléments est du temps perdu, car le temps est directement lié à l'argent.

    • Accepter d'apprendre en faisant, la perfection étant l'ennemi de l'action.
    • Se concentrer sur la valeur déjà apportée plutôt que sur les compétences manquantes.
    • Adopter le mantra : « Je ne sais pas tout, mais j'apprends vite et je m'adapte » (Test and Learn).

    Adopter la posture de partenaire via la communication

    La communication doit refléter une posture entrepreneuriale, vendant des solutions et un impact chiffré, plutôt qu'une posture de freelance vendant des tâches. Les questions posées doivent être orientées business (80 %) pour identifier les défis stratégiques, et non techniques (20 %). Prendre le lead dans la conversation en posant des questions ouvertes permet de faire ressortir des problématiques auxquelles le prospect n'avait pas pensé.

    • Remplacer « Je ne sais pas faire ça » par « Je vais apprendre à faire ça ».
    • Remplacer « J'ai pas d'expérience » par « J'ai un regard frais ».

    Plan d'action concret pour décrocher le premier client

    Le plan d'action se concentre sur la prospection directe, et non sur la création de contenu magnétique. Il faut identifier une niche hypothétique, lister 20 prospects idéaux, engager la conversation avec eux (minimum 5 messages par jour pendant 7 jours), et proposer un appel rapide pour identifier les problèmes. C'est en proposant son aide concrètement que l'on valide ses compétences et que l'on obtient les premiers retours pour ensuite créer du contenu pertinent.

    Les outils de l’OBM

    Le choix des outils est la dernière étape, car les principes méthodologiques priment sur la maîtrise technique. L'objectif est d'adopter une mentalité d'apprentissage « juste à temps », se formant uniquement aux fonctionnalités nécessaires pour un client donné. Il est inutile de collectionner des formations coûteuses sur des outils que l'on n'utilisera jamais. L'OBM doit se positionner comme architecte de solutions, et non comme experte technique.

    Matrice de choix et niveaux de maîtrise

    Une matrice universelle permet d'évaluer n'importe quel outil en moins de 10 minutes, en classifiant les fonctionnalités en critères essentiels et bonus. Les outils courants se répartissent en gestion de projet (Asana, ClickUp, Notion), communication (Slack, Loom) et automatisation (Zapier, Make). La maîtrise se fait par niveaux : découverte (fonctionnalités de base), opérationnel (creuser les options), et accompagnement (autonomie pour former les équipes).

    • Suite Google (Gmail, Drive, Meet) pour la communication et le stockage.
    • Un outil de gestion de tâches simple (ex: To-Do List ou Notion) pour démarrer.
    • Un CRM simple pour le suivi des prospects.

    Le secret pour devenir une OBM reconnue

    Posséder toutes les compétences techniques ne suffit pas ; il faut apprendre à les appliquer via une méthodologie concrète et adopter la posture d'intrapreneur. La réussite dépend de la capacité à se positionner comme partenaire stratégique, et non prestataire externe, et d'attirer des clients premium qui comprennent la valeur ajoutée de l'OBM par rapport à une simple assistante.

    Transformer les compétences en business rentable

    Le véritable écart se fait sur la posture d'intrapreneur qui identifie proactivement les axes d'amélioration et propose des solutions concrètes. Les entrepreneurs prêts à payer cher recherchent quelqu'un qui assume la responsabilité du résultat. Le programme OBM Squad enseigne comment transformer ces compétences en un business rentable, comment attirer des clients qui respectent et rémunèrent à la juste valeur, avec un plan d'action pour signer le premier client en moins de 6 semaines.

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