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    Ce Docteur dévoile ce qui DÉTRUIT nos articulations (et comment les régénérer) - Dr Laura Bricman

    Valuable insights

    1.Régénération du cartilage : un objectif actuel inaccessible: L'état actuel de la recherche scientifique n'a pas encore permis de régénérer le cartilage usé. Les objectifs thérapeutiques se concentrent sur l'amélioration du confort, de la fonction et la lutte contre la douleur.

    2.L'hygiène de vie accélère le vieillissement articulaire: Bien que le processus de vieillissement articulaire soit inévitable, une hygiène de vie non optimale, notamment sur les plans alimentaire et de la mobilité, accélère significativement l'usure et l'apparition de l'arthrose.

    3.La sédentarité est un risque plus grand que l'excès de sport: Lutter contre la sédentarité et la position assise prolongée constitue la priorité majeure de santé publique. Le sport, s'il est pratiqué de manière progressive, renforce l'articulation.

    4.L'inflammation métabolique aggrave l'arthrose: La micro-inflammation chronique, souvent causée par la résistance à l'insuline liée à une consommation excessive de glucides et de fructose, attaque directement les structures articulaires et exacerbe l'arthrose.

    5.Le fructose est le principal facteur de risque de la goutte: Contrairement aux idées reçues, le fructose, abondant dans les sodas et jus de fruits, est le plus grand pourvoyeur d'acide urique, déclenchant les crises de goutte par dépôt de cristaux.

    6.Les traumatismes graves déstabilisent durablement l'articulation: Les blessures aiguës qui touchent la stabilité de l'articulation, comme les ruptures ligamentaires ou les entorses répétées, sont les facteurs les plus déterminants dans la progression rapide de l'arthrose.

    7.Le rôle de l'intestin dans les maladies auto-immunes: L'hyperperméabilité intestinale, souvent induite par des protéines comme le gluten, permet le passage d'éléments immunogènes, stimulant excessivement le système immunitaire et exacerbant les pathologies auto-immunes articulaires.

    8.L'ostéoporose est un reflet du manque de contrainte: L'os est un tissu dynamique qui nécessite des contraintes mécaniques régulières pour se maintenir et se minéraliser. Le manque de mouvement entraîne une déminéralisation progressive.

    9.Le collagène soutient l'entretien articulaire: La supplémentation en collagène, bien que n'entraînant pas de régénération, apporte les acides aminés spécifiques nécessaires à l'entretien du cartilage et des structures ostéoarticulaires, particulièrement bénéfique pour l'arthrose.

    10.L'acide hyaluronique injectable lubrifie l'articulation: L'injection d'acide hyaluronique procure des résultats cliniques positifs en lubrifiant l'articulation, offrant un soulagement symptomatique qui peut être répété tous les six mois pour le confort.

    Introduction et vision de la santé articulaire

    Le tissu osseux est intrinsèquement dynamique, subissant un renouvellement constant. Face à l'augmentation générale des maladies articulaires, la question de la régénération des articulations usées demeure centrale. La Dre Laura Bricman, spécialisée en dermatologie, explore l'impact profond de la nutrition et de l'hygiène de vie sur l'amélioration du métabolisme général des individus. Une attention particulière est portée aux habitudes modernes, comme la position assise, qui sont jugées physiologiquement délétères pour le corps.

    La position assise : un facteur antihysiologique

    La position assise, notamment sur une chaise avec dossier, représente une posture anormale pour l'être humain. Elle entraîne un relâchement complet des muscles responsables du tonus de base et favorise des postures vicieuses, comme l'enroulement des épaules. Cette inactivité musculaire prolongée contribue à des déséquilibres des chaînes musculaires et à des douleurs dorsales chroniques, soulignant l'importance de la mobilité quotidienne.

    Métabolisme et Articulations

    Le vieillissement articulaire est un fait avéré, mais l'hygiène de vie actuelle, tant alimentaire que concernant l'activité physique, tend à accélérer ce processus. Des facteurs génétiques individuels existent, créant des prédispositions à des arthroses plus sévères ou rapides dans certaines familles. Cependant, l'environnement et le mode de vie conservent une implication majeure dans l'évolution de ces pathologies.

    Décorrélation entre imagerie et douleur ressentie

    Il est crucial de noter la décorrélation observée entre les résultats objectifs d'une imagerie (radio ou IRM) et les répercussions fonctionnelles et symptomatiques ressenties par le patient. Des lésions d'arthrose de stade avancé peuvent coexister avec une autonomie et une absence de douleur totales chez certains individus, tandis que d'autres souffrent intensément pour des lésions moins marquées. Cette distinction souligne l'importance du terrain inflammatoire local.

    Objectifs thérapeutiques : confort et fonction

    Actuellement, la recherche n'a pas trouvé de moyen de régénérer le cartilage détérioré. Les objectifs thérapeutiques se concentrent donc sur l'amélioration du confort, la conservation de la fonction articulaire et la réduction de la douleur. Il est possible d'obtenir une récupération significative de l'amplitude et du confort, même si les lésions structurelles persistent.

    • Renforcement musculaire ciblé et travail de la mobilité.
    • Apport nutritionnel optimal pour le maintien des structures abarticulaires.
    • Diminution du terrain inflammatoire local, notamment par l'alimentation.
    • Gestion des facteurs métaboliques comme la résistance à l'insuline, souvent corrélée à une inflammation chronique.

    Les Traumatismes Articulaires et leurs Conséquences

    Les pathologies articulaires se divisent en trois catégories principales : les maladies inflammatoires auto-immunes (polyarthrite, lupus), les maladies inflammatoires non auto-immunes comme la goutte, et enfin les problèmes dégénératifs purs et traumatiques. La goutte, en pleine explosion, est causée par des dépôts d'acide urique, un phénomène lié aux excès de fructose dans un contexte métabolique donné.

    Le danger des dépôts d'oxalates

    Un facteur souvent négligé est le dépôt d'acide oxalique (oxalates) dans les articulations, pouvant provoquer des arthropathies. Ce risque augmente avec une consommation chronique excessive de substances riches en oxalates, comme certains légumes ou, de manière concentrée, les compléments de curcuma sous forme de racine séchée. Un dosage urinaire sur 24 heures permet d'identifier une hyperoxalurie.

    Le plus gros pourvoyeur d'acide urique que l'on trouve dans les facteurs de risque alimentaire, c'est le fructose.

    L'impact des traumatismes aigus

    Les traumatismes horizontaux, impliquant un cisaillement ou une déstabilisation de l'articulation, sont considérés comme les plus dégradants. Les blessures ligamentaires au genou ou les entorses à répétition à la cheville créent une hypermobilité qui favorise le contact cartilagineux et accélère l'usure. Le trauma direct aigu est jugé beaucoup plus impactant que les micro-frottements chroniques, si ces derniers sont progressifs et non invalidants.

    Type de Problème
    Cause Principale
    Expression Clinique
    Goutte
    Dépôts d'acide urique (Fructose)
    Crise explosive, rouge, chaude, souvent au repos
    Arthropathie Oxalique
    Excès chronique d'oxalates (Vitamine C, Curcuma)
    Dégénérescence insidieuse et chronique
    Arthrose Traumatique
    Traumatisme aigu déstabilisant (Lésion ligamentaire)
    Usure accélérée due à l'instabilité mécanique

    Nutrition et Santé Articulaire

    La lutte contre la sédentarité est prioritaire pour la santé articulaire. Le sport n'est pas indispensable en soi, mais le fait de bouger suffisamment dans la journée, même par la marche, est suffisant pour contrecarrer les effets délétères de l'immobilité. Cependant, la pratique sportive mal préparée, comme une préparation marathon précipitée, peut engendrer des blessures traumatiques qui, elles, nuisent à l'articulation.

    Les trois piliers de l'entretien physique

    Pour un vieillissement en bonne santé, l'activité physique doit reposer sur trois piliers fondamentaux. Ces axes permettent de renforcer l'ensemble du système ostéoarticulaire et abarticulaire. Il est essentiel de travailler sur la connexion cerveau-articulation-tendon pour assurer une bonne stabilité et une résilience face aux contraintes quotidiennes.

    • Endurance cardiovasculaire (accessible par la marche ou des efforts doux réguliers).
    • Renforcement musculaire global (privilégier les mouvements polyarticulaires et le poids du corps).
    • Mobilité et travail de proprioception (exercices d'équilibre pour la connexion cerveau-articulation).

    Impact de l'alimentation sur l'inflammation

    Au-delà des oxalates, l'alimentation influence l'inflammation systémique. Une diminution des glucides est recommandée car leur excès mène à la résistance à l'insuline, créant une inflammation chronique de bas grade qui peut aggraver l'arthrose. Les lectines, notamment le gluten, et les produits laitiers sont également des facteurs potentiels à surveiller selon les prédispositions individuelles.

    Approche Holistique de la Santé Articulaire

    La recherche de progrès infinis dans la contrainte mécanique, même si elle est progressive, soulève la question d'une potentielle dette articulaire future. Cependant, le corps fournit généralement des signaux d'alerte clairs en cas de surcharge mécanique, se manifestant par des douleurs ou des gonflements articulaires. L'arrêt brutal d'une activité intense est souvent plus dommageable que la poursuite contrôlée de l'effort.

    Le système d'alarme articulaire

    Le système articulaire est conçu pour s'exprimer fortement lorsqu'il est traumatisé mécaniquement, souvent par la douleur ou l'épanchement. C'est un signal plus fort et plus immédiat que les perturbations métaboliques, dont les signes sont plus sourds et peuvent passer inaperçus. Le gonflement articulaire après un effort intense est un signe pathologique indéniable de stress mécanique excessif.

    L'Inflammation Chronique et ses Effets

    Il est établi que certaines formes d'arthrose présentent une composante inflammatoire. Cette inflammation n'est pas toujours détectable par les marqueurs sanguins classiques vus dans la polyarthrite, mais elle est souvent liée au terrain métabolique de l'individu, notamment en présence de résistance à l'insuline ou d'un excès de masse graisseuse.

    Gluten et santé intestinale

    Le gluten, ainsi que d'autres protéines comme les caséines présentes dans les produits laitiers, est incriminé dans l'augmentation de la perméabilité intestinale, communément appelée « Leaky Gut ». Ces protéines peuvent provoquer une inflammation locale au niveau de la muqueuse digestive, entraînant un desserrement des jonctions entre les cellules intestinales.

    Mécanisme de l'hyperperméabilité intestinale

    Lorsque l'intestin devient hyperperméable, il permet le passage d'éléments non désirés, dits immunogènes, dans la circulation sanguine. Bien que la recherche soit encore à ses débuts concernant la liaison directe entre ces toxines et les dommages articulaires spécifiques, ce phénomène est fortement suspecté de surstimuler le système immunitaire, mettant de l'huile sur le feu des pathologies existantes.

    Maladies auto-immunes et perméabilité intestinale

    Dans le cadre des maladies auto-immunes, le système immunitaire se retourne contre les propres tissus de l'organisme, attaquant par exemple le cartilage. Ce processus est initié lorsque des cellules présentatrices d'antigènes suractivées induisent la production d'anticorps dirigés contre des structures ressemblant fortement aux protéines du soi, comme dans le cas de la polyarthrite rhumatoïde.

    L'auto-immunité est acquise et multifactorielle

    Il est important de clarifier que les maladies auto-immunes sont acquises et non purement génétiques. Il existe une prédisposition génétique familiale, mais elle n'est pas majoritaire. Le facteur environnemental, incluant l'alimentation et l'exposition aux polluants, joue un rôle déterminant dans le déclenchement de ces pathologies, l'hyperperméabilité intestinale étant un déterminant majeur.

    Génétique et maladies auto-immunes

    Contrairement aux maladies génétiques classiques comme la mucoviscidose, où une seule mutation est déterminante, la prédisposition aux maladies auto-immunes est polygénique. Cela signifie que de nombreux gènes, dont la plupart ne sont pas encore identifiés, interagissent avec l'environnement pour potentiellement déclencher la maladie. Il est donc possible de développer une maladie auto-immune sans aucune prédisposition génétique identifiée.

    Le déterminisme génétique est limité

    Le fait de posséder un marqueur génétique associé, tel que le HLA B27 pour la spondylarthrite, n'est pas une sentence. Le risque est augmenté, mais le développement de la maladie dépend de la conjonction complexe de multiples facteurs génétiques et environnementaux. Tester son génome pour anticiper ces risques n'est pas recommandé en l'absence d'une base de données complète.

    Environnement et maladies auto-immunes

    L'environnement apporte une couche supplémentaire de facteurs de risque pour les maladies auto-immunes. L'exposition à certains polluants atmosphériques, par exemple en vivant en milieu urbain, peut aggraver la situation. Néanmoins, dans le cadre de la médecine métabolique, l'état de l'intestin et sa perméabilité demeurent des facteurs déterminants dans la réaction immunitaire globale de l'organisme.

    Acide urique et goutte

    La goutte résulte de l'accumulation d'acide urique dans le sang qui cristallise, provoquant une inflammation articulaire explosive. Si les antécédents familiaux et le mode de vie jouent un rôle, le principal facteur alimentaire identifié est la consommation excessive de fructose. Ce sucre est métabolisé par le foie en acide urique, alimentant ainsi les stocks sanguins.

    Fructose : le coupable caché de l'hyperuricémie

    Les boissons sucrées, les jus de fruits et les sodas, qui sont riches en fructose, sont souvent les véritables coupables des crises de goutte, plus que les excès de viande rouge ou de charcuterie. Les patients présentant un syndrome métabolique, caractérisé par une obésité abdominale et une consommation élevée de glucides, sont particulièrement à risque de développer cette forme d'arthrite.

    Arthrose et facteurs de risque

    L'arthrose est classée comme dégénérative, mais il existe des formes inflammatoires significatives. Les facteurs mécaniques sont primordiaux : la sédentarité empêche le renforcement articulaire, tandis que le surpoids augmente la charge passive sur les articulations sensibles comme la hanche et le genou. De plus, la micro-inflammation issue de la résistance à l'insuline attaque directement les structures articulaires.

    Spécificités des sites articulaires

    Certaines formes d'arthrose sont moins liées à la mécanique. L'arthrose des doigts, notamment la rhizarthrose du pouce, est souvent plus féminine et présente une forte composante héréditaire, avec peu de contraintes mécaniques externes. Chez les patients diabétiques, on observe fréquemment une inflammation de bas grade mesurable par une CRP élevée, confirmant l'impact métabolique sur la dégénérescence.

    Différences homme-femme en arthrose

    Bien que l'arthrose touche les deux sexes, des différences dans la localisation sont notables. Les femmes sont plus susceptibles de développer une rhizarthrose au niveau de la base du pouce. Il est important de distinguer ces pathologies articulaires de la fibromyalgie, qui, bien que source de douleurs diffuses, n'est pas considérée comme une maladie articulaire en soi.

    Tendance épidémiologique

    Globalement, les maladies articulaires sont en augmentation, particulièrement les formes dégénératives et métaboliques. Cette hausse est due à la persistance de l'immobilité et de la consommation excessive de sucre. Un meilleur diagnostic actuel peut également biaiser les chiffres, rendant l'interprétation des tendances épidémiologiques complexe.

    Ostéoporose et santé osseuse

    L'ostéoporose est un reflet direct des problèmes sociétaux liés à l'hygiène de vie et à la mobilité. L'os, étant un tissu dynamique, requiert des contraintes mécaniques et des micro-chocs pour activer les cellules responsables de sa construction et de sa minéralisation. Le déséquilibre entre construction et résorption osseuse est souvent aggravé par des facteurs comme la carence hormonale post-ménopause.

    Influence des médicaments sur la masse osseuse

    • La cortisone et ses dérivés, considérés comme les plus toxiques pour l'os, bien que parfois vitaux dans les poussées inflammatoires sévères.
    • Les médicaments antiacides, qui, en réduisant l'acidité gastrique nécessaire à la digestion, altèrent l'absorption des protéines et des minéraux essentiels comme le calcium.
    • Certains anti-épileptiques, qui sont également connus pour influencer négativement la masse osseuse.

    Le patient doit adopter une attitude active et autocritique vis-à-vis de sa prise en charge, interrogeant régulièrement la nécessité de traitements chroniques, notamment ceux qui affectent l'acidité gastrique.

    Alimentation et santé articulaire

    Pour l'entretien articulaire, il est conseillé d'éviter les excès de glucides pour limiter l'inflammation systémique. Les produits comme le gluten et les produits laitiers sont à surveiller en fonction des sensibilités individuelles, car ils augmentent la porosité intestinale. Le mouvement et la charge progressive restent cependant plus déterminants que la seule restriction alimentaire.

    Collagène et articulations

    Les suppléments de glucosamine et de chondroïtine n'ont pas démontré d'effets bénéfiques avérés sur la restauration du cartilage. En revanche, le collagène oral montre des retours cliniques positifs significatifs sur le confort articulaire et les tendinopathies, nécessitant une cure d'au moins trois mois. Il est important de noter que l'os est composé à environ 90 % de collagène de type 1.

    Le collagène : brique de construction

    Le collagène, une fois digéré, fournit les acides aminés spécifiques nécessaires à l'entretien des structures ostéoarticulaires, qui sont souvent déficitaires dans l'alimentation moderne, car les bouillons d'os et les tissus conjonctifs sont délaissés. Le collagène bovin est généralement conseillé car sa structure d'acides aminés est plus proche du collagène humain que le collagène marin.

    • Les personnes âgées et celles souffrant d'arthrose ou de tendinites chroniques.
    • Les sportifs cherchant à soutenir leurs structures sollicitées.
    • Toute personne souhaitant une approche d'entretien pour la longévité, en complément d'une alimentation riche en protéines animales.

    Acide hyaluronique et entretien articulaire

    L'acide hyaluronique est principalement utilisé sous forme injectable directement dans l'articulation, souvent le genou ou la hanche. Bien que les études scientifiques n'établissent pas toujours un bénéfice avéré des injections, l'observation clinique révèle des effets très positifs sur le confort dans une majorité des cas. Le mécanisme principal est la lubrification de l'articulation, réduisant les frictions.

    Protocole d'injection et résultats

    Ce geste d'infiltration intra-articulaire peut être répété sans problème tous les six mois. Il s'agit d'une piste intéressante pour soulager les douleurs arthrosiques, offrant une amélioration symptomatique notable, même si cela ne modifie pas la structure radiologique sous-jacente.

    PRP et cellules souches

    Concernant les techniques plus invasives, le Plasma Riche en Plaquettes (PRP) se pratique de plus en plus, bien que son efficacité scientifique ne soit pas toujours démontrée de manière concluante. Il peut apporter un effet positif sur certaines tendinites ou lésions dégénératives. Cependant, son coût élevé le positionne comme une tentative de dernier recours après échec des approches plus conventionnelles.

    Statut des thérapies cellulaires

    L'injection de cellules souches, qui théoriquement pourrait créer de nouveaux tissus, reste largement expérimentale et n'est pas implémentée en routine clinique. Les améliorations constatées avec le PRP et l'acide hyaluronique sont purement cliniques et symptomatiques, sans modification observable de la physiologie articulaire sur les examens d'imagerie.

    Futur des maladies articulaires

    Il n'y a pas d'attente épidémiologique pour une nouvelle maladie rhumatologique majeure. La tendance actuelle indique une persistance, voire une augmentation, des maladies dégénératives et métaboliques affectant les articulations. Si la population continue de consommer des sucres en excès et maintient un mode de vie sédentaire, ces deux axes continueront de représenter les principaux défis pour la santé articulaire future.

    Travailler sur les causes profondes

    L'approche idéale consiste à privilégier le travail sur les causes sous-jacentes plutôt que de traiter constamment les conséquences. Cela implique une éducation du patient et une vision globale intégrant les aspects métaboliques et d'hygiène de vie pour influencer positivement l'évolution des pathologies ostéoarticulaires.

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